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Ennéatype 4 - Les contes d'Ennead

TitreAttrapeReves

Ennéatype 4

Jardin intérieur

FPTV ET4L’énnéatype 4 est d’une très grande sensibilité, et est totalement réceptif à la réalité émotionnelle de son environnement. Il privilégie cette sphère émotionnelle et il devient ses émotions. Il est masochiste et sait vivre avec la souffrance (qu’il sait rendre noble : « si j’en bave, c’est bien, j’existe »). Plus les émotions et les ressentis sont vécus avec intensité, plus il se sent vivant.

Il passe par des pics émotionnels parfois très hauts, parfois très bas, et se sent souvent « inadéquate », en même temps que de revendiquer son originalité. Son monde émotionnel très riche est difficilement compréhensible par son entourage.

 

 

L’envie : c’est l’envie d’absorber l’autre, et ce qu’a l’autre, afin de combler ses propres frustrations. Il est dans la dépendance de l’amour de l’autre : il dit « aime-moi … je souffre tellement que je le mérite ».

L’insatisfaction : elle provient du fait qu’il perçoit le monde en mettant l’accent sur ce qui manque (Il voit systématiquement le verre à moitié vide), ce qui lui procure de la souffrance, donc des émotions intenses, donc le sentiment d’exister.

Évite la banalité : comme son monde émotionnel est obscur pour l’entourage, il se sent profondément incompris, et construit son identité sur l’unicité de son monde intérieur.

L’introjection : il incorpore dans son Moi tout le mauvais du monde, de manière brute et sans filtre, ce qui alimente sa souffrance.

 

La créativité et le sens artistique : en accédant à ces talents, il peut développer son art en y mettant son monde intérieur. Il sublime sa souffrance par la créativité, et peut en tirer la fierté d’être « différent des autres, sensible et original ».

L’équanimité : en éprouvant tant de souffrances pour exister, il peut parvenir à considérer qu’il est le seul à souffrir autant. Exprimer ses contentements, autant que ses frustrations, l’amène à expérimenter « qu’il n’y a pas plus souffrant ou moins souffrant… », que « ce n’est pas plus souffrant à l’intérieur qu’à l’extérieur… ».